Milieu relayeur

         
Milieu de terrain relayeur, Eric Dewilder possédait une bonne technique individuelle doublée d'une bonne vision du jeu. Très actif, il manquait peut-être de caractère pour s'imposer dans un grand club français, à une époque où les Girondins commençaient à décliner...
         
 
           
NOM :   DEWILDER
Prénom :   Eric
Né le :   10 mai 1964 au Portel (Pas-de-Calais)
     
    Taille : 1,82 m Poids : 76 kg
           
         
Au club de :   Juillet 1988 à Juin 1989
     
En provenance de :
  RC Lens
     
Club suivant :   SM Caen
     
     
BILAN STATISTIQUE
         
  43
    4
Matches :   Buts :
     
         

Débutant le football en poussins à Toulon, en pupilles à Boulogne, en minimes à Quimper, au hasard des pérégrinations de son père Robert, entraîneur, Eric Dewilder porta ensuite les couleurs de l'AAJ Blois. Alors qu'il n'était que junior 1ère année, il débuta en D2.

 

Après un essai infructueux à Nantes, convoité par Nancy, Bordeaux et PSG, il fit finalement ses classes au RC Lens avant de connaître des expériences à Limoges et à Marseille afin de s'aguerrir. Revenu à Lens, il accomplit des prestations qui attirèrent les recruteurs bordelais. 

 

Il s'engagea avec Bordeaux en 1988 pour occuper une place de titulaire au milieu de terrain, devenu orphelin de René Girard et de Dominique Bijotat. Les débuts du Nordiste furent très encourageants puis des soucis aux adducteurs commencèrent à contrarier sa progression. Mais il ne confirma pas et connut une saison mitigée.

 

En 1989, il s'engagea avec Caen, avant de passer par Sochaux, Bastia, Ajaccio et le RC Paris.

 
 
 
 
 
         

 

La hype Dewilder

 

4 buts, 3 passes décisives : les premiers mois de compétition furent de très haut niveau pour la nouvelle recrue bordelaise, Eric Dewilder.

 

Son nom commençait à être prononcé pour participer à la reconstruction du milieu de terrain de l'équipe de France. Tout tourner bien pour l'ex-Lensois. Il acheta même une maison à Saint-Médard-en-Jalles, espérant rester longtemps dans le Sud-Ouest. Il n'en fut rien...