NOM :   NOUZARET
Prénom :   Robert
Né le :   29 septembre 1943 à Marseille (Bouches-du-Rhône)
     
    Taille : 1,76 m Poids : 74 kg
           
         

Milieu défensif droit

         
Milieu de terrain droit, Robert Nouzaret était de ceux que l'on qualifiait de « laborieux ». Sur son côté, il multipliait les efforts pour récupérer les ballons. Il n'hésitait pas à se projeter vers l'avant, même s'il manquait d'efficacité et de talent offensivement.
         
 
 
 
 
         
         
Au club de :  

Juillet 1969 à Juin 1970

     
En provenance de :
  Olympique Lyonnais
     
Club suivant :   Montpellier HSC
     
     
BILAN STATISTIQUE
         
  11
    0
Matches :   Buts :
     
         

Avant d'être un entraîneur chevronné de D1 ou de D2 (Arago Orléans, Montpellier, Saint-Dié, Bourges, Lyon, Caen, Côte-d'Ivoire, Saint-Etienne, Toulouse, Bastia), Robert Nouzaret fut un joueur professionnel.

 

Inscrit à 7 ans à l'Olympique Lyonnais par son grand-père, il s'imposa à la force du poignet dans son club formateur mais eut la chance d'être dans l'équipe victorieuse de la Coupe de France 1967. 

 

En 1969, au terme de son aventure lyonnaise, il envoya des courriers à de nombreux clubs. Les Girondins lui répondirent favorablement. Mais il n'effectua qu'un passage éclair en marine et blanc.

 

Souvent relégué sur le banc des remplaçants, sur le point de rejoindre Limoges en octobre, il ne prit part qu'à 11 matches toutes compétitions confondues. Entraînés alors par Jean-Pierre Bakrim, les Girondins finirent à une honorable 6ème place. Las de jouer les utilités, il partit à Montpellier en D2, en juin 1970.

 

Il termina sa carrière de joueur au FC Gueugnon en 1974.

 

 

Une concurrence trop rude

 

Venu chez le dernier finaliste de la Coupe de France, Robert Nouzaret ne parvint pas à se faire une réelle place dans l'équipe de Bakrim. Il se découragea assez vite, comprenant qu'il avait fait une erreur en signant en Gironde.

 

En voyant les performances de Betta, Petyt ou Texier, il comprit qu'il n'aurait pas sa chance au sein d'un collectif bordelais bien huilé... "Les dirigeants bordelais m'ont enrôlé mais je n'avais pas le profil !" reconnut-il des années plus tard.