NOM :   RASCHKE
Prénom :   Philippe
Né le :   19 septembre 1967 à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
     
    Taille : 1,73 m Poids : 69 kg
           
         

Arrière latéral droit

         
 
         
         
Au club de :  

Juillet 1991 à Juin 1992

     
En provenance de :
  AS Monaco
     
Club suivant :   AS Cannes
     
     
BILAN STATISTIQUE
         
  5
    0
Matches :   Buts :
     
         

Originaire du Puy-de-Dôme, Philippe Raschke fut repéré par Jean Petit et l'AS Monaco, à Cournon, à l'âge de 15 ans. Formé en Principauté, il ne parvint pas à se faire une place au soleil au sein de l'effectif monégasque. 

 

Aussi, il se décida à relever le challenge de la remontée proposé par les dirigeants bordelais en 1991. Mais il n'arriva qu'en qualité de remplaçant et ne parvint jamais à faire changer d'avis Gernot Rohr, l'entraîneur des Girondins. Il ne prit part qu'à 5 matches durant cette saison, dans l'ombre de Jean-Luc Dogon notamment. Des ligaments défectueux expliquèrent également cette saison quasi-blanche.

 

Durant le mercato estival, alors qu'il s'apprêtait à jouer dans l'élite, il rejoignit, à son corps défendant, l'AS Cannes dans le cadre d'une opération complexe d'échanges de joueurs, dans laquelle les Girondins récupérèrent notamment Zinedine Zidane... Courbis ne vit en lui qu'une monnaie d'échange.

 

Ce fut sur la Croisette qu'il prit véritablement son envol, s'affirmant comme un défenseur solide de D1 sous le maillot cannois, strasbourgeois puis sochalien.

 
 
 
 
 
         

 

Un avenir bouché en Principauté

 

Philippe Raschke avait quitté son Puy-de-Dôme dès l'âge de 14 ans pour rejoindre le centre de formation de l'AS Monaco. Il y fit toutes ses classes mais atteignit un plafond de verre quand il intégra l'équipe réserve. En effet, barré par Sonor ou Amoros, il ne disputa que de rares matches.

 

Mécontent de sa situation, voyant les jeunes Valéry ou Petit lui passer devant, il demanda en 1990 à quitter l'ASM pour rejoindre un club suisse. D'abord d'accord, les dirigeants monégasques le retinrent à la dernière minute.

 

Condamné à effectuer une nouvelle saison en réserve, il accueillit la proposition bordelaise en 1991 avec beaucoup d'intérêt. La perspective de la relégation administrative en D2 ne l'effraya guère. Il signa plein d'ambition avec les Girondins.